(à Delphine)
(à Delphine)
L'or des mots et des feuilles
Echo de ta blondeur
Aux aveux qu'on accueille
Mêle de la candeur
L'écorce diaphane
Du bel arbre automnal
Chante ce qui ne fane
Même au froid hivernal
Car les bruits de la ville
Ne peuvent pas ce soir
Couvrir sa voix subtile
Qu'il ne sert de prévoir
Et les âmes s'élèvent
En un doux abandon
Comme une envolée brève
A saveur de pardon
L'or des mots et des feuilles
Echo de ta blondeur
Aux aveux qu'on accueille
Mêle de la candeur
L'écorce diaphane
Du bel arbre automnal
Chante ce qui ne fane
Même au froid hivernal
Car les bruits de la ville
Ne peuvent pas ce soir
Couvrir sa voix subtile
Qu'il ne sert de prévoir
Et les âmes s'élèvent
En un doux abandon
Comme une envolée brève
A saveur de pardon