Je marchais lentement près du canal tranquille
M'éloignant pas à pas des fumées de la ville
Je sentais peu à peu s'envoler mes soupirs
S'alléger mon fardeau et mon cœur s'adoucir
Les ombres se rallongent, en ce soir d'automne
Il fait chaud, au loin une voix d'enfant résonne
Par tendres bouffées je ressens l'émotion
Des temps incertains dénués d'ambition
Les petits riens qui me remettent en émoi
Le réconfort du vivant qui fleurit en moi
Sont doux, joyeux comme le regard d'une femme
La couleur d'une fleur et le chant des oiseaux
L'odeur de la terre, un vent léger sur ma peau
M’enveloppent de sérénité et de calme
Je marchais lentement près du canal tranquille
M'éloignant pas à pas des fumées de la ville
Je sentais peu à peu s'envoler mes soupirs
S'alléger mon fardeau et mon cœur s'adoucir
Les ombres se rallongent, en ce soir d'automne
Il fait chaud, au loin une voix d'enfant résonne
Par tendres bouffées je ressens l'émotion
Des temps incertains dénués d'ambition
Les petits riens qui me remettent en émoi
Le réconfort du vivant qui fleurit en moi
Sont doux, joyeux comme le regard d'une femme
La couleur d'une fleur et le chant des oiseaux
L'odeur de la terre, un vent léger sur ma peau
M’enveloppent de sérénité et de calme