Dévoilant la grandeur de ce soleil perdu,
Le soleil en liesse reprenait son dû
D'un volcan éteint, mué en versants fertiles,
Répandant sa terre rouge en sillons tranquilles.
Les champs verts et ventés des pentes ancestrales
S'ornaient, pour parfaire sa beauté estivale,
De haies jaspées, craquantes et bruissantes flammes,
Comme des colliers sur la gorge d'une femme.
Et les pieds nus, je foulais doucement ses sentes,
M'imaginant caresser le corps d'une amante.
Dévoilant la grandeur de ce soleil perdu,
Le soleil en liesse reprenait son dû
D'un volcan éteint, mué en versants fertiles,
Répandant sa terre rouge en sillons tranquilles.
Les champs verts et ventés des pentes ancestrales
S'ornaient, pour parfaire sa beauté estivale,
De haies jaspées, craquantes et bruissantes flammes,
Comme des colliers sur la gorge d'une femme.
Et les pieds nus, je foulais doucement ses sentes,
M'imaginant caresser le corps d'une amante.