L'offrande de ma joie
A tes yeux qui sourient
L'offrande de tes mots
Au creux de mon oreille
L'offrande de ma joie
A tes yeux qui sourient
L'offrande de tes mots
Au creux de mon oreille
L'échanson des tendresses nocturnes
Brandit de joie son hanap en hommage
A la veille des plus audacieux
Inventifs et merveilleuses
Tant vivre et mourir se ressemblent le soir
Quand j'hume le silence dans tes cheveux
Ma tête soutient que c'est impossible
Tandis que mon cœur frémit de désir
Par nos esprits trop souvent impassibles
Nos âmes pourraient se laisser flétrir
Dévoilant la grandeur de ce soleil perdu
Le soleil en liesse reprenait son dû
D'un volcan éteint
Baigné dans les étoiles
J'ai levé un coin du voile
Qui me masquait en partie ta beauté
Aphrodite suspendue en un plongeon gracile
Délaissée, esseulée, fléchissante et fragile
Me rappelle que l'amour
Peut ne pas durer toujours